Cette semaine, mon ami Arsène Boisrond m’a transféré une vidéo faisant état des œuvres sociales du célèbre tennisman Yannick Noah au Cameroun, son pays d’origine. J’ai alors pensé à d’autres musiciens comme lui, notamment Coupé Cloué, Julio Iglesias, qui, après leurs carrières dans le sport, se sont lancés dans la musique.
«Papa Simon Tara» est l’un des grands succès de Yannick Noah. Il y chante un hommage à son grand-père paternel. Une chanson où il a parfaitement réussi un cocktail de Reggae, de rythmes africains et de Samba brésilienne, en conformité avec sa condition de métis par la liaison d’une Française avec son père Camerounais.
Dès que j’entends «Papa Simon Tara», je semble reconnaître le sang de “Rio De Janvier”, le super succès du groupe français Gold en l’honneur de la ville de Rio de Janeiro, faisant ressortir la traduction au Portugais du premier mois de l’année. La description est sans équivoque, avec les airs et les danses de la Samba, le café et le tabac typiques, les favelas, les longues plages, le stade du Maracaña, ce sublime temple du football brésilien où, en 1969, le Roi Pelé signait son millième but. Il ne manque que le carnaval et la colossale statue du Christ Rédempeur juchée au sommet du Mont Corcovado.
Kesnel Vertil
«La musique est destinée aux rêveurs».
Justin Timberlake.-
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